St-Benoit Bord de Mer (2/4) - 2 vidéos des Îles - Histoire - Recette
Bonjour chères toutes et tous et bienvenue sur mon blog et la suite 2/4 de ma balade à St-Benoit avec mon petit-fils...
J'espère que vous allez bien et je le souhaite de tout coeur.
Vous lire est un plaisir, merci pour vos visites et commentaires.
En musique pour commencer avec deux vidéos des îles
LE SOLITAIRE - Zoukpros (île Rodrigues) : Clip de la semaine sur Kanal Austral
Sega - La Grain Cafe
ST-BENOIT (2/4)
SAINT-BENOIT (Réunion).
Autrefois terminus du chemin de fer et région totalement vouée à l’agriculture et l’industrie sucrière, la commune de Saint-Benoît développe aujourd’hui les formations, un pôle sanitaire et une politique dynamique en faveur des PME. Ville d’art, d’enseignement, de culture et de tourisme, elle regorge de centres d’intérêts touristiques.
Les eaux vives
A une quarantaine de kilomètres de Saint-Denis, au cœur de la zone “au vent”, Saint-Benoît 2eme commune de l’île par sa superficie (22 960 ha), et avec plus de 34 000 habitants, se veut aujourd’hui pôle de développement économique de toute la région Est, que l’on dit trop souvent humide et pluvieuse . C’est oublier qu’il y brille un soleil généreux dont l’action, combinée avec un degré hygrométrique enviable, lui accorde cette végétation omniprésente, luxuriante, qui a forgé d’étonnants paysages et des rivières qui comptent parmi les plus belles de l’île . Limitée par la rivière des Roches au Nord, et la rivière de l’Est au Sud-Est, elle étend son territoire de l’océan jusqu’au Piton des Neiges . Les précipitations des Hauts, généreuses depuis la nuit des temps, lui ont sculpté un relief particulier, fait de basses plaines alluviales riches et de montagnes escarpées, qu’on dirait taillées à la serpe . Bassins, cascades, forêts primaires avec leurs espèces végétales et animales endémiques, larges étendues sucrières, îlets ombragés voués aux cultures fruitières font la richesse de Saint-Benoît .
Bref historique
L’histoire débute au XVIIIe Siècle, à l’époque où les colons cherchent de nouvelles terres pour s’établir dans l’Est. En 1720, la culture du vrai café de Moka commence et le nom de Saint-Benoît apparaît en 1730 lors de la création de la paroisse, du nom du gouverneur Pierre-Benoît Dumas. Le territoire de Saint-Benoît est réputé pour la fertilité de ses terres mais aussi grâce à Joseph Hubert, agronome et botaniste bénédictin distingué. Dés 1775, Joseph Hubert tente la culture des épices et le premier giroflier est planté apportant prospérité à Saint-Benoît et à l’Ile Bourbon. Fin du XVIIIe Siècle la Garde Nationale de Saint-Benoît, plus importante que celle de Saint-Denis, se distingue à Sainte-Rose lors du débarquement anglais. En 1815, Sainte-Rose est détachée, limitée par la rivière de l’Est. La construction d’un pont sur la rivière des Marsouins et la culture de la canne à sucre profitent à Saint-Benoît, devenu l’un des quartiers les plus importants et les plus riches de l’île. En 1852, Hubert Delisle, originaire de Saint-Benoît, devient gouverneur. Courant XIXe Siècle, les limites de la commune seront définitivement tracées.
http://est.reunion.fr/2/les-communes/saint-benoit.html
Tiens tiens il y a de bien beaux animaux ih ih ih !!!!!!! c'est moi qui ai rajouté ces tites bébètes MDR !!!!
Cherchez ci-dessus l'intrus ih ih ih !!!!
Voici quelques animaux dont on ne soupçonnerait pas l’existence du site http://www.tuxboard.com/animaux-dont-on-ne-soupconnerai-pas-existence/
(pour en voir d'autres il faut cliquer sur ce site cité ci-dessus).
Le lapin angora :
Les lapins angoras sont des lapins qui se caractérisent par des poils très longs. Cette caractéristique liée à une mutation génétique leur vaut d’être élevés pour la fabrication de poils utilisés pour la confection de produits haut de gamme. L’angora donne jusqu’à un kilogramme de poils par an.
La taupe à nez étoilé (Ou Condylure étoilé)
est une taupe qui vit au québec. Le museau est doté de plus de 100.000 fibres nerveuses et 30.000 organes de Eimer (petits poils).
Le serval :
le serval descend du même ancêtre que le lion, mais qu’il constitue une lignée unique n’ayant pas de rapports proches avec d’autres espèces de félins, bien qu’il présente quelques points communs avec le guépard. Et ce dernier bondit jusqu’à 2 mètres pour attraper ses proies, sans doute grâce à ses oreilles de lapin. Les oreilles du serval et son long cou lui servent à entendre et à voir au-dessus des hautes herbes de la savane.
Le moloch et aussi appelé diable épineux,
est une créature qui vit dans le désert australien. S’il a l’air dangereux avec tous ses piquants, il ne se nourrit en fait que de fourmis. Il est également capable de survivre dans le désert car les plis de sa tête ramènent l’eau dans sa bouche. On ne le rencontre que rarement dans les zones rocheuses.
Le aye-aye
est un primate vivant à Madagascar et considéré comme vulnérable à l’extinction. Ce lémurien combine des incisives de rongeurs, des oreilles de chauve-souris, une queue d’écureuil et un troisième doigt extrêmement allongé.
Terminons par une recette du site http://www.ricardocuisine.com
RÔTI DE DINDON AU CHORIZO ET AUX HERBES
Préparation 25 min
Cuisson 1 h
Attente 1 h
INGREDIENTS
Dindon
10 ml (2 c. à thé) de graines de moutarde, moulues grossièrement
2,5 ml (½ c. à thé) de grains de poivre, moulus grossièrement
2,5 ml (½ c. à thé) de graines de coriandre, moulues grossièrement
1 ml (¼ c. à thé) de graines de fenouil, moulues grossièrement
1 ml (¼ c. à thé) de cannelle moulue
5 ml (1 c. à thé) de sel
1 rôti de dindon d’environ 1 kg à 1,4 kg (2 à 3 lb) ficelé
30 ml (2 c. à soupe) d’huile d’olive.
Garnitures
675 g (1 ½ lb) de pommes de terre grelots de couleurs variées
2 oignons, coupés en quartiers
85 g (3 oz) de chorizo, coupé en dés (125 ml/½ tasse)
60 ml (¼ tasse) de feuilles de cerfeuil ou de persil plat ciselé
30 ml (2 c. à soupe) de ciboulette fraîche ciselée.
Sauce
1 oignon, haché
60 ml (¼ tasse) de beurre
45 ml (3 c. à soupe) de farine tout usage non blanchie
250 ml (1 tasse) de cidre ou vin blanc
1 litre (4 tasses) de bouillon de poulet
125 ml (½ tasse) de crème 35 %
15 ml (1 c. à soupe) de moutarde de Dijon
15 ml (1 c. à soupe) de moutarde à l’ancienne
15 ml (1 c. à soupe) de cassonade
Sel et poivre.
PREPARATION
Dindon
Dans un bol, mélanger les épices et le sel. Répartir le mélange d’épices sur le rôti de dindon. Déposer le rôti dans un plat de cuisson et couvrir d’une pellicule de plastique. Réfrigérer 1 heure, pas plus de 4 heures.
Garnitures
Placer la grille dans le centre du four. Préchauffer le four à 200 °C (400 °F).
Dans une poêle, dorer le rôti dans 15 ml (1 c. à soupe) d’huile. Transférer dans un plat de cuisson. Dans la même poêle, dorer les pommes de terre et les oignons dans le reste de l’huile (15 ml/1 c. à soupe). Déposer autour du rôti. Cuire au four environ 1 heure ou jusqu’à ce qu’un thermomètre à viande inséré au centre du rôti indique 74 °C (165 °F).
Dans une petite poêle, dorer le chorizo environ 2 minutes. Réserver.
Sauce
Entre-temps, dans la poêle qui a servi à préparer le rôti, dorer l’oignon dans la moitié du beurre (30 ml/2 c. à soupe). Ajouter le reste du beurre, saupoudrer de farine et mélanger pour bien enrober. Déglacer avec le cidre et porter à ébullition en fouettant constamment. Ajouter le reste des ingrédients et faire réduire de moitié. Saler et poivrer. Réserver.
Au moment de servir, parsemer le rôti et les légumes de chorizo et d’herbes fraîches. Accompagner de sauce.
Note
Les rôtis de dindon se vendent parfois saumurés. Si vous faites la recette avec un rôti saumuré, n’ajoutez pas de sel au mélange d’épices.
Je vous souhaite un excellent WE ainsi qu'une exquise semaine, que tous vos souhaits se réalisent et surtout je vous espère en bonne ou meilleure santé de tout coeur.
Prenez bien soin de vous et à bientôt !
Gros bisous que vous vous partagerez.